كنت كلبك، ولكن الغرور ديالك اللي فاق القياس ما بقاكش كتشوفني، وحكم عليّا بلا حتى ما نعيط، كنطلب غير من الله يكون هو القاضي ديالي، ماشي دوك العقول الصغيورة اللي دايرين بيك، اللي ما عرفوش لا تربية لا حق

Traduction de la légende : « J’étais ton chien, mais ton orgueil démesuré t’a rendu aveugle à ma présence. Tu m’as condamné sans même m’entendre. Je ne demande qu’une chose : que ce soit Dieu qui me juge, pas ces petites cervelles qui t’entourent, incapables de comprendre ni le respect, ni la justice. »

كتحكمي بلا ما تحكمي

كتحكمي بلا ما تحكمي،

وعينيك عامرين يقين،

شفتي غير الغبرة فعين راجلك،

ونسيتي الصخور

اللي من زمان حابسين ليك النظر.

كان حاضر.

كيسمع، كيصبر، كيعطي،

خدام فصمت،

بحال كلب وفيّ كيتسنى حضن،

بحال شمس كتطلع باش تضوي على ظلك

وما كتعرفيهاش.

من قهوتك مع الفجر

حتى لباب الطوموبيل اللي ما بقيتيش تحلي،

كان كيهديك حركات صغيورين

بحال هدايا ساكتة.

ولكن نتي…

بغيتي أكثر.

بغيتي تدفنيه،

تطحنيه تحت رجليك،

تبلعي عليه بصوتك

وتقوليه دارجتك أرقى من لغتو.

بديتي تهضري بالدارجة

باش تبني سور،

باش تدفنيه حيّ

فصمت مزوّق بالروحانيات

وكلمات نقّيتيهم للفيسبوك والستوري.

ومن بعد؟

عتبتيه…

علاش؟

على أنه بغا يتنفس.

ما خانكش،

ما مشى لتخت ماشي ديالو،

غير بغا يصيح،

يصوت من الداخل،

يبان، يعيش.

ما دار لا خيانة لا جريمة.

غير طلب الرحمة.

لكن نتي…

ما بقيتيش كتسماعي.

كبرياءك كان عميق،

وثقتك فالنفس كانت فاخرة،

وكترتي علينا من “أنا كوتش”.

وخليتيه.

بلا رحمة.

بلا كلمة.

بحال شي حيوان مضروب

تلوحيه فجنب الطريق وتمشي.

ودابا…

كاتوقفي ناصبة الراس،

كتقلبي ولادك عليه،

وكتدوي على النور والتناغم،

وعلى الشاكرات والشفاء،

كتقولي كتعاوني الناس يعيشو،

ولكن نتي… نتي اللي ضيعتي حياتك.

حيت فنهار النفَس الأخير،

ماشي القناع اللي غادي يهضر،

ولكن الدموع اللي بلعهم،

والسكوت اللي تحملو،

والمحبة… اللي نتي احتقرتيها.

traduction : »

Tu commandais… sans avoir à commander.

Tes yeux brillaient de certitudes.

Tu n’as vu que la poussière dans les yeux de ton homme,

et tu as oublié les rochers

qui depuis si longtemps t’empêchaient de voir.

Il était là.

Il écoutait, il patientait, il donnait.

Il travaillait en silence,

comme un chien fidèle attendant une étreinte,

comme un soleil qui se lève juste pour éclairer ton ombre…

et que tu ne reconnaissais même pas.

Depuis ton café à l’aube,

jusqu’à la portière de la voiture que tu ne voulais plus ouvrir,

il t’offrait de petits gestes

comme des cadeaux muets.

Mais toi…

Toi, tu voulais plus.

Tu voulais l’enterrer,

l’écraser sous tes pieds,

l’étouffer avec ta voix

et lui dire que ton dialecte valait mieux que sa langue.

Tu t’es mise à parler en darija

non pas pour aimer,

mais pour bâtir un mur,

pour l’enterrer vivant,

dans un silence maquillé de spiritualité

et de mots polis pour Facebook et les stories.

Et ensuite ?

Tu l’as blâmé.

Pourquoi ?

Parce qu’il voulait respirer.

Il ne t’a pas trahie.

Il n’est pas allé dans un lit qui n’était pas le sien.

Il voulait juste crier,

hurler de l’intérieur,

exister, vivre.

Il n’a ni trahi, ni tué.

Il a juste demandé grâce.

Mais toi…

Tu ne l’écoutais plus.

Ton orgueil était profond,

ta confiance en toi, flamboyante,

et tu nous as noyés dans tes “Je suis coach”.

Et tu l’as laissé.

Sans pitié.

Sans un mot.

Comme un animal blessé

qu’on jette au bord de la route et qu’on oublie.

Et maintenant…

Tu tiens la tête haute,

tu cherches tes enfants pour parler de lui,

tu parles de lumière, d’harmonie,

de chakras et de guérison.

Tu dis que tu aides les autres à vivre…

Mais c’est toi… toi qui as gâché ta propre vie.

Parce qu’au dernier souffle,

ce n’est pas le masque qui parlera…

Mais les larmes qu’il a ravalées,

le silence qu’il a enduré,

et l’amour… que toi, tu as méprisé.

1999 Aïn Beni Mathar

en 1999 à Aïn Beni Mathar

بلا ما تحسب،
وعطيت بلا ما تستنا ترجع،
قسمتي مع الناس باش ترافق،
ماشي حيت خاصك،
ولكن حيت كتّحب.

وقتك…
وروحك…
كل نبضة فقلبك
كانت دعاء ساكت
على ناس ما كانوا كيشوفوك.

بكيتي —
ماشي على راسك،
ولكن باش تنشف دموع
اللي الدنيا ضرباتهم وما لقاشو منين يبكيو.

آمنتي.
بالعقل.
بالإيمان.
بداك الحق البسيط
اللي كتعلّمو الأرض للي عندهم قلب واعي.

ولكن اللي خانوك
ماشي غير بشر،
هما سراب،
أرواح ناشفة،
ضاعو بعيد على نفس الأجداد.

كياكلو من خبز هاد الأرض
اللي ربّاتهم،
وشرباتهم،
وجرحاتهم،
وما عمرهم سمعوها ولا حسّو بها.

آه يا بلقاسم…
علّمتهم الخير،
النية،
حب الخدمة،
وكرامة العرق.

وهمّا رجّعو ليك
الخساسة،
الكذوب،
والعنف لابسين لباس الدين،
وكيهضرو بكلام باينو كبير،
ولكنه خاوي…
كلام ديال طمع،
ديال حب الواجهة،
وغرور الفارغ.

Traduction :  »

Sans compter, tu as donné.

Et tu as donné sans rien attendre en retour.

Tu as partagé ta vie avec les autres pour les accompagner,

pas parce que tu manquais,

mais parce que tu aimais.

Ton temps…

Ton âme…

Chaque battement de ton cœur

était une prière silencieuse

pour des gens… qui ne te voyaient même pas.

Tu as pleuré —

pas pour toi,

mais pour sécher les larmes

de ceux que la vie avait frappés…

et qui ne savaient même plus comment pleurer.

Tu as cru.

En la raison.

En la foi.

En cette vérité simple

que la terre enseigne à ceux qui ont un cœur éveillé.

Mais ceux qui t’ont trahi

n’étaient pas seulement des humains —

c’était des mirages,

des âmes sèches,

égarées loin des racines des ancêtres.

Ils mangent le pain de cette terre

qui les a élevés,

les a abreuvés,

les a blessés,

et qu’ils n’ont pourtant jamais écoutée… ni ressentie.

Ah, Belkacem…

Tu leur as appris le bien,

la droiture,

l’amour du travail,

et la dignité de la sueur.

Et eux t’ont rendu

la bassesse,

le mensonge,

et la violence déguisée sous les habits de la religion.

Ils parlent des mots qui semblent grands,

mais qui sonnent creux…

Des paroles pleines d’avidité,

d’obsession pour l’image,

et d’un orgueil… aussi vide qu’un tambour crevé.

Mansouria El Bouchikhi Belmère et son Mari le Dr Jean-Victor Belmère le 20 mai 2025

Madame Mansouria EL BOUCHIKHI a crée la société COTEHY Sarl le 1er janvier 2020 avec son époux légitime le Dr Jean-Victor Belmère à parts égales (50/50%).

Son époux a contribué à la totalité du capital social par des apports en numéraire et en industrie. Le mobilier professionnel, le matériel informatique et les équipements divers ont été apportés à la société en tant qu’apports en nature, dûment intégrés au capital social conformément aux dispositions statutaires.

En 2024, Madame El Bouchikhi Mansouria a procédé, pour des motifs qui lui sont propres, à la création de la société unipersonnelle dénommée COACHMANSOURIA, sans en informer son époux, pourtant également associé dans d’autres structures.

Par la suite, et dans le contexte de difficultés fiscales résultant de ses antécédents avec la Direction Générale des Impôts d’Oujda — en particulier en lien avec les sociétés ASTEIN EL BOUCHIKHI et ASTEIN COMPUTER SHOP — Madame El Bouchikhi Mansouria a procédé à la transformation de la société unipersonnelle COACHMANSOURIA en société à responsabilité limitée (SARL) pluripersonnelle. Cette transformation s’est accompagnée de l’intégration de l’un de ses fils en qualité d’associé, alors même que son autre fils avait expressément refusé d’y prendre part.

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